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    La Villa Majorelle

    Fleuron de l’architecture Art Nouveau à Nancy, la Villa Majorelle est tout à fait étonnante :

    C’est d’abord une masse imposante qui présente toutes des caractéristiques structurelles Ecole de Nancy , comme une sorte de gracieuse encyclopédie du vocabulaire architectural Art Nouveau

    Elle est remarquable aussi parce que construite par l’architecte Henri Sauvage, pour (et avec la contribution conséquente) d’un des maîtres de l’Ecole de Nancy, Louis Majorelle.

    Le périmètre du jardin actuel est beaucoup plus modeste que le jardin initial de la famille Majorelle.

     

     

     

    Le grès flammé est à la mode dans les années 1900. On le trouve ici sous forme de carreaux, de frises, de couronnements de cheminées et surtout dans l’imposante rampe de la terrasse à décor végétal réalisée par le céramiste Alexandre Bigot (1862-1927). Les éléments de ferronnerie à motif de monnaie du pape sont réalisés dans les ateliers Majorelle : marquise et porte d’entrée, supports des balcons, grilles de fenêtres, portail d’entrée ou encore chéneaux et gouttières. Le bois enfin, apporte sa couleur et sa chaleur à l’élévation.

     

     

      

    La villa domine ce quartier résidentiel tranquille, à l’ombre de l’abside du Sacré Cœur.

    Elle dépend du musée de l’Ecole de Nancy, tout proche, et abrite les bureaux de l’antenne nancéienne du réseau international des villes art nouveau : le Réseau Art Nouveau Network

     

     

      

      

    Elle se visite le week end.

    C’est un monument nancéien à ne rater sous aucun prétexte qui a reçu le label "Maison des Illustres" en 2012.

    A quelques centaines de mètres de la gare de Nancy, on peut la rejoindre à pied par la rue de la Commanderie ou l’avenue Foch, qui montrent toutes les deux de remarquables exemples de l’architecture Ecole de Nancy.

     

     

    Réservation obligatoire auprès du Service des publics des Musées:
    - par téléphone: 03.83.17.86.77 du lundi au vendredi, de 9h à 12h et de 13h30 à 17h
    - par e-mail: servicedespublics-musees@mairie-nancy.fr

      

      

    Pour en savoir plus

    Vers 1901-1902, Louis Majorelle (1859-1926), industriel d’art prospère, fait construire à Nancy une villa moderne, la villa Jika (les initiales de sa femme Jeanne Kretz) par un jeune architecte parisien Henri Sauvage (1873-1932). L’architecte rompt avec l’élévation traditionnelle horizontale et symétrique au profit d’une répartition des ouvertures reflétant la logique de la distribution intérieure.

     

     

      

      

    L’audace et l’ambition du projet sont décisives pour l’introduction à Nancy d’une nouvelle conception de l’art de bâtir.

    La collaboration étroite du constructeur et du décorateur donne naissance à un véritable programme esthétique exprimant avec force un art de vivre où la beauté des formes ne cède en rien au confort.

     

     

    Dès le vestibule d’entrée, le principe d’unité, cher aux artistes de l’Art nouveau, est mis en valeur par l’emploi d’un décor au motif de monnaie du pape répété sur l’ensemble des éléments. Dans la cage d’escalier, le mouvement dynamique de la rampe sculptée traduit le sentiment de croissance et de mouvement. Le végétal en est toujours la source d’inspiration essentielle. Le volume est éclairé par deux grandes verrières de Jacques Gruber (1870-1936), auteur de tous les vitraux de la maison et collaborateur de Majorelle depuis 1895.

     

     

      

      

    Plus loin, la salle à manger conserve encore aujourd’hui l’aspect d’origine de son décor. Une frise peinte par Francis Jourdain (1876-1958) court dans la partie supérieure des murs. Animaux de basse-cour, légumes et arbres fruitiers apportent une joyeuse animation à l’ensemble. Les boiseries et le mobilier réalisés chez Majorelle dans une gamme de bois sombres sont ornés du motif du blé, tandis que les fenêtres sont surmontées de vitraux décorés de cucurbitacées. Enfin, une étonnante cheminée monumentale en grès flammé ménage un espace indépendant, réservé au fumoir.

     

     

    Un bombardement détruit en 1916 une partie de la maison ainsi que les ateliers situés au fond du jardin. Après le décès de sa femme, en 1912, Louis Majorelle passe de plus en plus de temps à Paris. Son fils Jacques, peintre, s’installe au Maroc dès 1917 pour des raisons de santé. Après la mort de son père, il vend la maison aux Ponts et Chaussées et ne conserve qu’une petite partie des meubles.

      

      

      

    Le mobilier de la chambre à coucher (musée de l’Ecole de Nancy), réalisé en frêne du Japon et bois d’aulne avec incrustations de nacre et de cuivre, constitue un ensemble d’exception composé d’éléments multiples : lit, armoire, chevets, tables, commodes… Majorelle y excelle dans l’art de la courbe ininterrompue, de la fluidité et de l’élégance des lignes et des détails.

      

      

      

      

      

    Reproduite à de nombreuses reprises dans des revues de décoration contemporaines, la Villa Majorelle bouscule la tradition et impulse de nouvelles idées, reprises par les architectes nancéiens.

    > télécharger le dossier de presse sur la labellisation Maison des Illustres

     

      

     

      

    SOURCES

    http://www.nancy-tourisme.fr/decouvrir/histoire-

    et-patrimoine/art-nouveau/la-villa-majorelle/

     

    LIEN ECOLE MAJORELLE - NANCY

    http://www.ecole-de-nancy.com/web/index.php?page=les-pieces-de-la-villa-Majorelle

     

     

     ecole-de-nancy Villa-Majorelle-Porte-

     

     

     

     

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    Rhinocéros collection Animaux en pâte de cristal de la prestigieuse maison DAUM.
    Couleur au choix : ambre gris ; blanc mat
    Pièce signée DAUM FRANCE et J-F Leroy

     

    Daum

    Depuis 1878, Daum crée des beautés en cristal de renommée mondiale en utilisant des techniques rares et anciennes. Sa maîtrise parfaite de la 'pâte de verre' a valu à Daum une réputation mondiale d'excellence.

     

    La collection Daum

    Daum et Nancy sont deux noms indissociables qui évoquent l’épopée d’une des plus grandes cristalleries françaises, créée à la fin du XIXème siècle. La notoriété de DAUM, à l’origine, est liée au mouvement de l’Ecole de Nancy, fondée dans les années 1900. Longévité et créativité sont les caractéristiques de cette entreprise qui a su, au fil du temps, faire évoluer sa production, notamment en pâte de cristal, et qui a contribué largement à sa renommée à travers le monde.

     

     

    File:F54 Nancy Daum CollectionMBA.JPG

     

    La Collection Daum du Musée des Beaux-Arts de Nancy : Riche de plus de 600 pièces, la collection Daum du Musée des Beaux-Arts de Nancy est considérée, aussi bien par la communauté scientifique que par le public, comme la collection de référence. En effet, elle n'a d'équivalent dans aucun musée français ou étranger. Cet ensemble, d'une qualité esthétique et historique de premier plan, permet de présenter l'histoire de la manufacture depuis ses débuts dans les années 1880 jusqu'aux créations des années 1990.

    File:Vase aux raisins.jpg

     

    La Manufacture DAUM à Nancy, la boutique et la production de Vannes le Châtel : Une des caractéristiques remarquables de la manufacture Daum est sa longévité associée à une renommée jamais démentie.

      

    A côté de la création de pièces exceptionnelles, l'amélioration de la qualité de la production courante et le développement des services de table constituent aujourd'hui encore l'un des points forts de l'entreprise.

      

    Dans les locaux d’origine des cristalleries au centre de Nancy, une équipe de créateurs dessine et teste des prototypes ; l’atelier produit les pièces les plus rares ; dans l’unique magasin d’usine Daum, on trouve des objets de fins de série ou présentant de très légers défauts (souvent invisibles à un œil profane) à des prix intéressants.

      

      

    La visite de l’atelier est possible, du lundi au vendredi, sur réservation et pour des groupes de 10 à 15 personnes uniquement. 

    Contact : 33 (0)3 83 30 80 24

      

    Vase aux raisins, vers 1925

      

      

      

    La Boutique "show room" de la place Stanislas présente des pièces exceptionnelles mais aussi des vases, petits objets décoratifs ou bijoux.

    Au pôle verrier de Vannes le Châtel, à 20 km de Nancy en direction de Toul, la manufacture Daum poursuit sa production de série, des services de table et des bijoux.

      

    Daum, histoire d'une famille :

    En 1871, Jean Daum, notaire à Bitche, s'établit à Nancy et rachète une verrerie locale fabriquant de la gobeleterie ordinaire. Ses fils Auguste et Antonin viennent rapidement le seconder.

     

     

      


    Vers 1891, Antonin Daum crée un département artistique. Avec des collaborateurs à la forte personnalité : Jacques Gruber, Henri Bergé et Amalric Walter qui introduit la technique de la pâte de verre, l'entreprise Daum dont la production s’inscrit dans le mouvement art nouveau, participe pratiquement à toutes les Expositions universelles. Après la première guerre mondiale, Paul Daum développe la nouvelle esthétique Art Déco. Après la deuxième guerre mondiale, Henri et Michel Daum privilégient les transparences du cristal et les formes épurées.

     

      

      

      

    A partir de cette époque, la Manufacture ne cessera plus de s’associer à de grands noms – plus de 350, aujourd’hui - tels Salvador Dali ou César, plus récemment Hilton Mac Connico, Garouste et Bonnetti et Christian Pillet pour créer des modèles réalisés en pâte de verre.

    www.daum.fr

      

    Manufacture DAUM (atelier et magasin d’usine) :

    17 rue des Cristalleries – 54000 Nancy, France

      

    Boutique show room DAUM : Place Stanislas – 54000 Nancy, France

      

    Manufacture DAUM : 54112 Vannes le Châtel, France

     

     

    http://www.nancy-tourisme.fr/decouvrir/histoire-et-patrimoine/art-nouveau/la-collection-daum/

     

     

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     Peigne en Ivoire, Art Nouveau

     

     

    Si l'Art nouveau est né en Écosse, il s'est beaucoup développé en France à Paris, mais surtout à Nancy, depuis la fin de la guerre de 1870 jusqu'au début de la Première Guerre mondiale avec un point culminant au tournant du siècle, avec l'exposition universelle de 1900 et la création de l'association École de Nancy en 1901.

     

    Il a touché tous les aspects de la vie quotidienne, depuis l'architecture, jusqu'à l'ameublement et la décoration publique ou privée par l'implication d'une multitude de domaines artisanaux.

     

     

    À ce titre, on peut citer pour:

      

    Dans d'autres domaines également tels la ferronnerie ou la menuiserie, l'Art nouveau a massivement utilisé les « nouvelles technologies » de l'époque.

     

     

     Art Deco bakelite G.E. box

     

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    Hector Guimard

    Architecte, désigner français

    1867-1942

     

     

     

     

    Connu principalement pour ses entrées du métro parisien, Hector Guimard fut avant tout architecte et designer.

     

     

     

     Afficher l'image d'origine

     

     

    Il dessina des villas, hôtels particuliers et immeubles de rapport et créa également les décorations intérieures, meubles et objets divers, le tout dans un style raffiné très personnel.

     

     

     

    Biographie  illustrée d'Hector Guimard 1867-1942

     

     

     

    Réalisations immobilières illustrées qui subsistent encore.

     

     

     

    Maison Hector Guimard

    Adresse : 18, rue de Neuville, Garches, France


     

    Le lierre couvre une architecture rampante où chaque fenêtre s'offre aux délires de l'architecte. Hector Guimard (1867-1942), à qui l'on doit les entrées et constructions surplombant les bouches de métro de Paris, est un représentant d'une branche du style Art nouveau qui touche toute l'Europe autour des années 1900. La grille bleue de cette maison reprend les aspirations de ce style, et notamment la ligne « coup de fouet » chère à Guimard.

     

      

     

     Édicule Guimard

     

     

     

     

     Entrées de stations du métropolitain -> accueil.

      

      

      

    1900 Paris 16e " Porte Dauphine " ligne 2, le seul style pavillon fermé existant encore.

     

     

     

     

    1900  Paris 1e " Palais Royal - Musée du Louvre " lignes n°1 et 7, reste une entrée avec candélabres.

     

     

     

    1900  Paris 1e " Châtelet " lignes n°1, 4, 7, 11 une entrée ouverte avec édicule de toit reconstruit et une entrée classique

     

     

     

     

    1900  Paris 18e " Abbesses " ligne n°12, une entrée avec édicule de toit ouverte au pied de Montmartre

     

     

     

    1900  Paris 12e " Nation " lignes n°1, 2, 6 et 9 reste une entrée large avec candélabres et bouche d'aération.

     

     

    1900  Paris 1e " Tuileries " ligne n°1, deux entrées basses le long des grilles du jardin des Tuileries

     

     

     

    1900  Paris 1e " Louvre Rivoli " ligne n°1, une entrées haute devant les colonnes du Louvre

     

    1902  Paris 16e " Victor Hugo " ligne n°2, une entrée haute avec candélabres.

     

     

     

    1902  Paris 16e " Monceau " ligne n°2, une entrée haute avec candélabres.

     

    1904  Paris 2e " Réaumur-Sébastopol " lignes n°3 et 4, quatre entrées/sorties dont deux avec candélabres.

     

    1904  Paris 2e " Sentier " ligne n°3 , une entrée basse sans candélabres.

     

    1905  Paris 12e " Bastille " lignes n°1, 5 et 8 , une entrée haute avec candélabres.

     

    1906  Paris 14e " Raspail " lignes n°4 et 6, deux entrées dont une style Guimard large.

     

    1906  Paris 14e " Denfert-Rochereau " lignes n°4 et 6, trois entrées dont une style Guimard large

     

    1906  Paris 15e " Pasteur " lignes n°6 et 12, reste une entrée large avec candélabres

     

    1908  Paris 13e " Saint-Marcel " ligne n°5, deux une entrée dont une style Guimard.

     

    1908  Paris 1e " Etienne Marcel " ligne n°4, une entrée haute avec candélabres.

     

    1909  Paris 16e " Boissière " ligne n° 6, une entrée haute avec candélabres.

     

     

     

     

    1909  Paris 14e " Mouton-Duvernet " ligne n°4, deux entrées avec et sans candélabres.

     

    1910  Paris 6e " Saint Michel " ligne n°4, trois entrées avec deux candélabres Guimard et un de Dervaux

     

    1910  Paris 4e " Cité " ligne n°4, une entrée avec candélabres dans l'île de la Cité.

     

    1913  Paris 16e " Chardon Lagache " ligne n° 10, une entrée haute avec candélabres.

     

     

     

         
    voir en grand format  constructions détruites voir en grand format 

     

     

     

    Immeubles à Paris 16e -> accueil.

     

    1891 Hôtel Roszé Pavillon de deux étages au 34, rue Boileau

     

    1893 Villa Jassede Pavillon de deux étages au 41, rue Chardon Lagache 

     

    1894 Hôtel Delfau au 1, rue Molitor - Atelier Carpeaux au 39, boulevard Exelmans

     

    1895 Ecole du sacré-Coeur Bâtiment au 9, avenue de la Frillière 

     

    1898 Castel Béranger Immeuble de rapport au 14, rue La Fontaine

     

    1903 Immeuble Jassede Immeuble de sept étages au 142, avenue de Versailles

     

    1907 Hôtel Deron-Levent  Hôtel particulier de 2 étages au 28, villa de la Réunion

     

    1909 Immeuble Trémois de six étages au 11, rue Millet

     

    1909 Hôtel Mezzara Hôtel particulier de deux étages au 60, rue La Fontaine

     

    1912 Ensemble immobilier de huit étages aux 17, 19 et 21, rue La Fontaine, rue Agar et 43 rue Gros

     

    Entrées: 17 - 19 - 21, rue La Fontaine - 8 , 10 rue Agar - 43 rue Gros

     

     

     

      

      

    1913 Hôtel Guimard Hôtel particulier au 122, avenue Mozart, son domicile

     

    1922 Hôtel particulier de trois étages au 3, square Jasmin

     

    1924 Villa Flore Immeuble de sept étages au 120, avenue Mozart

     

    1926 Immeuble de sept étages au 18, rue Heine

     

    1928 Immeubles  de six étages au 36-38 rue Greuze

     

     

     

    Autres constructions à Paris

     

    1899 Pierre tombale de la famille Ernest Caillat au cimetière du Père Lachaise Paris 20e

     

    1913 Synagogue 10, rue du Pavée Paris 4e

     

    1919 Immeuble de bureaux de sept étages au 10, rue de Bretagne Paris 3e

     

     

     

    Villas existantes encore en France.

     

     

     

    Le Chalet Blanc de 1908 à Sceaux (Hauts de Seine) - Le Castel Orgeval de 1904 à Villemoisson ( Essonne)

     

     

    La Villa Berthe ou Hublotière de 1899 au Vésinet ( Yvelines) - Le Castel Val de 1903 à Auvers sur Oise (Val d'Oise)

     

      

    Maison à Eaubonne de 1907 à Eaubonne ( Val d'Oise) - La Villa Hemsy de 1913 à Saint-Cloud (Hauts de Seine)

     

     

     

     

    La Bluette de 1889 à Hermanville (Calvados) -

      

     

     

     

     

     

      

      

    Maison Coilliot de 1898 à Lille (Nord)

     

     

     

    Villas ou bâtiments défigurés.

     

     

     

    Le Castel Moderne ou Villa Canivet de 1899 à Garches (Hauts de Seine) - La Villa Rose d'Avril de de 1906 à Morsang sur Orge (Essonne).

     

    La Sapinière villa de 1899 à Hermanville (Calvados)

     

     

     

    Villas ou Hôtel disparus.

     

     

     

    La Surprise de 1903 à Cabourg (Calvados) -  Le Castel Henriette de 1899 à Sèvres (Hauts de Seine)

     

      

    l'Hôtel Nozal de 1905 à Paris 16e - Les entrepôts Nozal de 1902 à Paris 16e - La Salle Imbert de Romans de 1901 à Paris 16e

     

    Le Pavillon Le style Guimard  à l'Exposition de l'habitat de 1903 - La Mairie du Village Français à l'Exposition des arts décoratifs de 1925

     

    l'Hôtel Roy de 1895 à Paris 16e - La Villa Avril de 1906 à Morsang-sur-Orge (Essonne)

     

     

     

    Le Métro actuel. 

     

    Motifs de la station de métro Porte Dauphine, signalétique actuelle, les candélabres.

     

    Liste des stations de métro Guimard de Paris, rénovation des entrées de Métro par la RATP

     

    Les Edicules disparues ou existants encore

     

     

     

    Le Métropolitain d'autrefois.

     

    Travaux de construction du métropolitain et le métro aérien dans Paris (cartes postales anciennes)

     

    Entrées du métro vers 1900 existantes toujours : Palais Royal, Bagnolet, places de la République, des Ternes et de Clichy etc...

     

    Entrées du métro en forme d'édicule ou de Pavillon détruites : place de l'Etoile - place de la Bastille  - Porte Maillot - place de la Nation 

     

     

     

    Dessins - Vitraux - Objets - Meubles etc..

     

    Chambre à coucher  - Salle à manger -  Meubles - Objets - Motifs de papier pour le castel Béranger.

     

    Vitraux de porte d'entrée - Verrière 

     

     

     

    Diaporamas à télécharger sur les réalisations de Guimard (immeubles et entrées du Métro)

     

     

    Livres édités sur Hector Guimard en français - anglais

     

     

     

     

     

    Plan et cartes de Paris.

     

    Plan de Paris  localisation des 20 arrondissements de Paris, plan du métro

     

    Plan de Paris localisation des réalisations d'Hector Guimard.

     

     

     

    Autres entrées de stations de métro à Paris

     

    Palais Royal - Musée du Louvre Paris 1e construite pour le centenaire du métro en 2000 dans un style controversé.

     

    Solferino Paris 7e ligne n° 12, entrée style de l'après Guimard de 1914

     

    Victoria Square à Montréal (Canada)

     

     

     

    Entrées de stations à l'étranger de style Guimard

     

    Victoria Square à Montréal (Canada) - Van Buren Street à Chicago (Canada) - Bellas Artes à Mexico (Mexique) - Kvieskaya à Moscou (Russie) - Picoas à Lisbonne (Portugal).

     

     

     

    Liens internet sur Hector Guimard architecte.

     

    Association Le Cercle Guimard crée en 2003 par ses meilleurs connaisseurs pour promouvoir l'Oeuvre d'Hector Guimard

     

    La Hublotière villa de Guimard de 1896 au Vésinet (Yvelines)

     

    Villas des Hauts-de-Seine : 1899 Modern'Castel, 1908 Le Chalet Blanc 

     

    Thème astral détaillé d'Hector-Germain Guimard.

     

    Netprof cours d'histoire en vidéo sur l'art nouveau d'Hector Guimard , 4 immeubles et le métro Porte Dauphine

     

     

     

    Liens internet sur le métropolitain.

     

    Historique du métropolitain construction, lignes, stations etc.. - Réinauguration de la bouche de métro à Montréal en 2003

     

    Réunion des musées nationaux  Base images à acheter :dessins, plans, photos etc..

     

     

     

    Autres liens.

     

    ratp.fr les plans de la RATP : métro, bus etc..

     

     

     

    Liens commerciaux

     

    Entreprise Sofar fabriquant français de lampes, appliques et lustres de style Guimard et Art Déco.

     

     

    SOURCES

    http://lartnouveau.com/artistes/guimard.htm

     

     http://artnouveau.pagesperso-orange.fr/en/artistes/guimard.htm

     

     

     

    L’architecte

    L’Art nouveau, l’avis d’un architecte

    Hector GuimardThe Architectural Record me fait l’honneur de me demander une définition de « l’Art Nouveau ». À notre époque de transition, de troubles même et de commotions, il est difficile de dire exactement ce qui serait la meilleure réponse à la question posée. Mais on pourrait dire, en général, que les dernières années du XIXe siècle ont vu le commencement d’une évolution générale qui aboutira un jour à des résultats tangibles et permanents.

      

    L’art appartient à ce mouvement. Depuis une vingtaine d’années diverses expériences, plus ou moins audacieuses, ont été menées sur l’art moderne. Ces tentatives ont été basées sur l’interprétation des éléments de la fleur. Je citerai, dans ce contexte, en France, Rubrick Robert (1) et l’Union Centrale des Arts Décoratifs ; en Angleterre, Ruskin, Walter Crane et Morris ; et, en Belgique, Victor Horta. Dans ce dernier pays, la base décorative n’est plus la feuille ni la fleur, mais la tige, tout simplement.

     

     

    En revenant à une approche logique et raisonnable de la question, et en abandonnant l’ostracisme de toutes les écoles classiques, je crois qu’en étudiant les principes de l’art qui ont guidé les artistes des périodes les plus reculées jusqu’à nos jours, il est possible d’opérer des sélections, et si nous nous donnons la peine de découvrir comment nos prédécesseurs ont réussi à les découvrir, nous pouvons, en appliquant les mêmes méthodes aux conditions de notre temps, déduire les règles modernes appropriées.

      

      

      

    En dépit de la profusion d’exemples anciens, il est impossible de nier qu’il y a autre chose, et cet « autre chose » devrait être l’objet principal des recherches de ceux qui veulent œuvrer pour leur époque. C’est à nous, architectes, qu’incombe plus particulièrement la tâche de définir, par notre art, l’évolution artistique, mais aussi civilisatrice et scientifique de notre temps.

     

     

    La Nature est un grand livre dans lequel nous pouvons trouver notre inspiration et c’est également dans ce livre que nous devons chercher les principes qui, lorsqu’ils auront été trouvés, devront êtres définis et appliqués par l’esprit humain selon les besoins humains. De cette étude, je tire trois principes qui devraient avoir une influence prédominante sur toute production architecturale :

     

     

    1. La logique, qui consiste à prendre en compte toutes les circonstances de la situation à laquelle l’architecte est confronté, circonstances qui sont infinies dans leur variété et leur nombre.

    2. L’harmonie, ce qui veut dire mettre en accord toutes les constructions, non seulement avec les demandes auxquelles il faut répondre et les ressources financières disponibles, mais aussi avec leur environnement.

    3. Le sentiment qui, participant à la fois de la logique et de l’harmonie, est leur complément à toutes deux, et qui mène, par l’émotion, à l’expression la plus élevée de l’art.

    Ce sont là les principes que j’ai souhaité illustrer dans tous mes édifices, et plus particulièrement dans le Castel Béranger, dans la Salle Humbert de Romans et dans les stations du chemin de fer métropolitain de Paris. Ce sont ces œuvres, avec celles d’hommes comme Victor Horta et Van de Velde qui ont inspiré, surtout en Allemagne, en Autriche et en France, les productions qu’on caractérise par le terme « Art Nouveau ». Malheureusement, je ne peux pas dire que toutes ces productions illustrent les trois principes que je viens d’énoncer.

      

    Pour la plupart, elles ne font que les contrefaire, car cette chose indéfinissable que nous appelons le goût — ce qui fait que nous apprécions une chaise, une pendule, une vase ou un bijou, ce goût qui est l’incarnation de l’esprit, du charme, de l’émotion, de la vie, qu’il soit en tissu ou en métal, utilitaire ou décoratif — cette qualité est absente chez la plupart de ceux qui pensent être des créateurs modernes et qui, en réalité, ne font que plagier plus ou moins un motif conçu pour orner une structure utile.

    Chaque grande époque a connu une stylisation de l’art. C’est ainsi que tous les styles qui nous ont précédé ont vu le jour, mais aujourd’hui on ne peut pas nier que nous assistons à la création d’un style. Mais des influences individuelles ne peuvent pas avoir un effet universel.

      

      

    Un style d’architecture, pour être vrai, doit être le produit du sol où il se trouve et de la période qui le demande. Les principes du Moyen Âge et ceux du XIXe siècle, combinés avec ma doctrine, devraient nous fournir les bases d’une Renaissance française et d’un style entièrement nouveau.

      

      

    Que les Belges, les Allemands, les Anglais développent pour eux-mêmes un art national. Assurément, de cette façon, ils accompliront une œuvre vraie, solide et utile.

     

     

     

    Quoique cela soit un peu présomptueux de parler des Américains qui me font ici l’hospitalité de votre revue, je me hasarderai à dire que mes confrères américains ont été et sont toujours dans la position la plus favorable pour créer un « Art Nouveau », et je regrette qu’ils n’aient pas jugé utile de chercher un art national, développé à partir de leur propre tempérament, c’est-à-dire un art produit sur place et en intuition avec la vie à cet endroit.

      

      

    L’artiste ne crée pas son environnement, il en est le produit. Quand je regarde vos monuments et votre architecture, je crois revoir les bâtiments et les monuments de Paris, de Berlin ou d’Italie, tant est absente toute marque caractéristique du sol.

    Considérant que l’Art Nouveau traverse aujourd’hui l’océan pour arriver sur vos rives, j’espère que mes confrères américains ne se contenteront pas d’être de simples copistes, mais seront des créateurs. Je crois que les principes qui me guident quand je fais de l’architecture française leur permettront tout aussi aisément de créer un art américain, ce que vos compatriotes éclairés espèrent très ardemment.

      

      

      

    Hector Guimard

    Architectural Record, vol. XII, n° 2, 1902

    [Texte publié en anglais en 1902 ; la version originale en langue française n'existant plus, le texte a été re-traduit de l'anglais par Paul Smith, avec l'aide de Catherine Gros]

    _______________
    (1) Guimard pense sans doute à Victor Ruprich-Robert (1820-1887), premier titulaire de la chaire d’architecture à l’Ecole nationale des Arts décoratifs (note du traducteur).

     

     

     

    SOURCES

    http://lecercleguimard.fr/fr/hector-guimard-architecte/larchitecte/

     

     

     

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    Tyrone Power, 1936, photo by Alfred Cheney Johnston by margarett

     

     

     

     

     

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    Alice Wilkie par Alfred Cheney-Johnston. 1925
(Alfred Cheney Johnston était un photographe US, né à New-York le 8 avril 1885 et décédé le 17 avril 1971. Il est particulièrement connu pour ses portraits des filles des Ziegfeld Follies.)

    Alice Wilkie par Alfred Cheney-Johnston. 1925

    (Alfred Cheney Johnston était un photographe US, né à New-York le 8 avril 1885 et décédé le 17 avril 1971. Il est particulièrement connu pour ses portraits des filles des Ziegfeld Follies.)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     
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    Alice Wilkie

    Alice Wilkie

     

    Alice Wilkie par Alfred Cheney-Johnston. 1925

    (Alfred Cheney Johnston était un photographe US, né à New-York le 8 avril 1885 et décédé le 17 avril 1971. Il est particulièrement connu pour ses portraits des filles des Ziegfeld Follies.)

     

     

     

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    Peggy Shannon
c. 1920s

    Peggy Shannon

    c. 1920s

     

     

     

    belleepoqueactresses:

Miss Billie Burke

    belleepoqueactresses:

    Miss Billie Burke

    (via my-ear-trumpet)

     

     

     

    Olive Thomas
c. Late 1910s

    Olive Thomas

    c. Late 1910s

     

     

    Alice Wilkie

    Alice Wilkie

     

     

    summertime75:

Billie Burke 1906

    summertime75:

    Billie Burke 1906

    (via my-ear-trumpet)

     

     

    summertime75:

Billie Burke 1907

    summertime75:

    Billie Burke 1907

    (via my-ear-trumpet)

     

     

     

    iamheathcliff:

Peggy Shannon

    iamheathcliff:

    Peggy Shannon

     

     

     

    (Source: valentinovamp)

     

     

    vintagegal:

Ziegfeld girl Katherine Burke by Alfred Cheney Johnston 1928

    vintagegal:

    Ziegfeld girl Katherine Burke by Alfred Cheney Johnston 1928

     

     

    (Source: marenarasauce)

     

     

     

    vintagegal:

Follies girl Helen Forbes by Alfred Cheney Johnston 1920’s

    vintagegal:

    Follies girl Helen Forbes by Alfred Cheney Johnston 1920’s

     

     

     

    vintagegal:

Ziegfeld Follies girl Lora Foster 1920’s

    vintagegal:

    Ziegfeld Follies girl Lora Foster 1920’s

     

     

    (via amoebapudding)

     

     

     

    forgottenfortunes:

Lillian Lorraine

    forgottenfortunes:

    Lillian Lorraine

     

    avanishedtime:

Ziegfeld girl

     

     

     

    cupcakekatieb-eyecandy:

Ziegfeld girl

    cupcakekatieb-eyecandy:

    Ziegfeld girl

    (via pickurselfup)

     

    hoodoothatvoodoo:

Ziegfeld Follies of 1920

    hoodoothatvoodoo:

    Ziegfeld Follies of 1920

     

    allrightmrdemille:

Anna Buckley, photographed by Alfred Cheney Johnston

    allrightmrdemille:

    Anna Buckley, photographed by Alfred Cheney Johnston

    (Source: adelinedespanet)

     

     

     

    hoodoothatvoodoo:

Ziegfeld Follies

    hoodoothatvoodoo:

    Ziegfeld Follies

    (via cavigliascabinet)

     

    vintagegal:

Emma Haig for the Ziegfeld Follies of 1916

    vintagegal:

    Emma Haig for the Ziegfeld Follies of 1916

    (via labelleboheme)

     

     

     

    Louise Brooks in the Ziegfeld Follies
in 1924, Louise joined the Ziegfeld Follies,  and performed in the Ziegfeld production, Louie the 14th when it opens in Washington D.C.
Louise Brooks was elevated from the chorus to one of  Ziegfeld’s “Glorified Girls.” Louise did a specialty dance during the 1925  Summer Follies, which also included W.C. Fields and Will Rogers.  Vargas painted her portrait, which hung in Florenz Ziegfeld’s office.

    Louise Brooks in the Ziegfeld Follies

     

     

     

    in 1924, Louise joined the Ziegfeld Follies, and performed in the Ziegfeld

    production, Louie the 14th when it opens in Washington D.C.

    Louise Brooks was elevated from the chorus to one of Ziegfeld’s “Glorified Girls.” Louise did a specialty dance during the 1925 Summer Follies, which also included W.C. Fields and Will Rogers. Vargas painted her portrait, which hung in Florenz Ziegfeld’s office.

     

     

     

     

    mothgirlwings:

    Marilyn Miller during her years with The Five Columbians dance ensemble - c. 1910s

    (via thequirkybunny-deactivated20110)

     

     

     

     

     

     

    avanishedtime:

Ziegfeld girl (Helen Brown)

    avanishedtime:

    Ziegfeld girl (Helen Brown)

    (via luzfosca)

     

     

     

    mothgirlwings:

Billie Burke
Happy Birthday, August 7th

    mothgirlwings:

    Billie Burke

    Happy Birthday, August 7th

    (via antigone-spit)

    23rd of August 2011

     

    mothgirlwings:

    Candle Light, Moonlight, Lantern Light, Sun Light and Electric Light from “The Illuminants” -

    Ziegfeld Follies Midnight Frolic (c. Early 1920s)

    (via extranuance)

     

     

    Fanny Brice - 1910

    Fanny Brice - 1910

     

     

    sydneyflapper:

My Baby’s Arms, Ziegfeld Follies 1919

    sydneyflapper:

    My Baby’s Arms, Ziegfeld Follies 1919

     

     

     

     

    bittybopp:

Ziegfeld Girls, on location.

    bittybopp:

    Ziegfeld Girls, on location.

    (via bittybopp-deactivated20111129)

     

     

    4th of September 2011

     

    jazzage:

    Ziefeld Follies

    Colorized film from 1929

     

    2831:

Yvonne Shelton

    2831:

    Yvonne Shelton

     

     

    regardintemporel:

ACJ - Ziegfeld Follies, Ben Ali Haggin Tableau, 1920s

    regardintemporel:

    ACJ - Ziegfeld Follies, Ben Ali Haggin Tableau, 1920s

     

     

    vintagegal:

1915 Midnight Frolic Ziegfeld Follies production (The Girls of New York Town)- Dorothy Koffee as Washington Square.

    vintagegal:

    1915 Midnight Frolic Ziegfeld Follies production

    (The Girls of New York Town)- Dorothy Koffee as Washington Square.

     

     

    aliaena:

Ziegfeld Follies showgirl and film actress Geneva Mitchell by Edward Thayer Monroe 1921

    aliaena:

    Ziegfeld Follies showgirl and film actress Geneva Mitchell by Edward Thayer Monroe 1921

    (via blackandwhiteandwtf)

     

    vintagegal:

 Ziegfeld Follies showgirl Jessie Reed by Edward Thayer Monroe c. 1920

    vintagegal:

    Ziegfeld Follies showgirl Jessie Reed by Edward Thayer Monroe c. 1920

     

     

     

    screengoddess:

Ziegfeld Follies icon Marilyn Miller 1928 - Photo by Nickolas Muray

    screengoddess:

    Ziegfeld Follies icon Marilyn Miller 1928 - Photo by Nickolas Muray

     

     

    Susan Fleming

    Susan Fleming

     

     

     

    Drucilla Strain
Photo:  Alfred Cheney Johnston, 1929

    Drucilla Strain

    Photo: Alfred Cheney Johnston, 1929

     

     

     

     

    Myrna Darby
Photo by Alfred Cheney Johnston

    Myrna Darby

    Photo by Alfred Cheney Johnston

     

     

     

    Mary Nolan

    Mary Nolan

     

     

    The Dolly Sisters, with their dollies

    The Dolly Sisters, with their dollies

     

     

     

     

    The Dolly Sisters, Rosie and Jenny
The Dolly Sisters, twins Rosika (Rose) and Jansci (Jenny)  Deutsch, were born October 25, 1892 in Hungary,  and emigrated to the United  States in 1905. They perfected a single-sex “tandem” dance act -  practising in front of mirrors - under the name of ‘The Dolly Sisters’  they began earning money in beer halls as early as 1907. Barred for  being under age by the New  York City stage, they toured the Orpheum circuit until 1909 when  they debuted on the Keith vaudeville circuit till 1911 when they signed with the Ziegfeld Follies for two seasons.  It was                        here that they got their theme … “Siamese  Twins,”                        which they used throughout their career.
In addition to making about a half dozen films from 1913 to 1920,  they toured the theatres and dance halls of Europe.

    The Dolly Sisters, Rosie and Jenny

    The Dolly Sisters, twins Rosika (Rose) and Jansci (Jenny) Deutsch, were born October 25, 1892 in Hungary, and emigrated to the United States in 1905. They perfected a single-sex “tandem” dance act - practising in front of mirrors - under the name of ‘The Dolly Sisters’ they began earning money in beer halls as early as 1907. Barred for being under age by the New York City stage, they toured the Orpheum circuit until 1909 when they debuted on the Keith vaudeville circuit till 1911 when they signed with the Ziegfeld Follies for two seasons. It was here that they got their theme … “Siamese Twins,” which they used throughout their career.

    In addition to making about a half dozen films from 1913 to 1920, they toured the theatres and dance halls of Europe.

     

     

     

    The Dolly Sisters

    The Dolly Sisters

     

     

     

    (via hedda-hopper)
The Dolly Sisters

    (via hedda-hopper)

    The Dolly Sisters

     

     

     

    Helene Clive

    Helene Clive

     

     

     

     

     

     

    floradoragirl:

Anna Held

    floradoragirl:

    Anna Held

     

     

     

    Rose Dolores (1892 - 1975) was born to a poor family as Kathleen Marie Rose in England. She was discovered by Lucille (Lady Duff Gordon) and worked as a fashion model from then on.
She was hired by Florenz Ziegfeld for the Ziegfeld Follies of 1917 after he has seen her in a fashion show in New York. She also appeared in the Ziegfeld Follies of 1918, the Midnight Frolic of 1918, the Midnight Frolic of 1919, the Ziegfeld 9 o’Clock Revue, the Midnight Frolic of 1920 and “Sally”.
She wasn’t really talented in Singing and Dancing, but because of her looks she became one of the most famous Ziegfeld Girls.
In the Midnight Frolic of 1919 she wore an elaborate Peacock costume which was considered by many to be most spectacular single visual effect in a Ziegfeld show.
According to Doris Eaton Travis, Dolores was the tallest Ziegfeld Girl (about six feet) and “usually came on last in these parades of beautiful girls that would open up with a big fan”.
Dolores had many admirers, but in 1923 she decided to retire and marry the millionaire and art collector Tudor Wilkinson.

     

     

     

    Rose Dolores (1892 - 1975) was born to a poor family as Kathleen Marie Rose in England. She was discovered by Lucille (Lady Duff Gordon) and worked as a fashion model from then on.

    She was hired by Florenz Ziegfeld for the Ziegfeld Follies of 1917 after he has seen her in a fashion show in New York. She also appeared in the Ziegfeld Follies of 1918, the Midnight Frolic of 1918, the Midnight Frolic of 1919, the Ziegfeld 9 o’Clock Revue, the Midnight Frolic of 1920 and “Sally”.

    She wasn’t really talented in Singing and Dancing, but because of her looks she became one of the most famous Ziegfeld Girls.

    In the Midnight Frolic of 1919 she wore an elaborate Peacock costume which was considered by many to be most spectacular single visual effect in a Ziegfeld show.

    According to Doris Eaton Travis, Dolores was the tallest Ziegfeld Girl (about six feet) and “usually came on last in these parades of beautiful girls that would open up with a big fan”.

    Dolores had many admirers, but in 1923 she decided to retire and marry the millionaire and art collector Tudor Wilkinson.

     

     

     

    Gladys Glad (1907 - 1983)
Photo by Alfred Cheney Johnston
She performed in the “Ziegfeld Follies of 1926”, the “Midnight Frolic” of 1929, the “Ziegfeld Follies of 1931”, “Whoopee!”, “Rosalie” and “Rio Rita”.
She was some kind of the successor of Rose Dolores - she had not much Singing, Dancing or Speaking to do, but her mere presence was fascinating.
She was married to Mark Hellinger, who was the theatrical columnist for the New York Daily News and later went on to be a writer and producer of Crime Films.
After her career as a Ziegfeld Girl, Gladys started a beauty advice column for the New York Daily News and dabbled in radio.

    Gladys Glad (1907 - 1983)

     

     

    Photo by Alfred Cheney Johnston

    She performed in the “Ziegfeld Follies of 1926”, the “Midnight Frolic” of 1929, the “Ziegfeld Follies of 1931”, “Whoopee!”, “Rosalie” and “Rio Rita”.

    She was some kind of the successor of Rose Dolores - she had not much Singing, Dancing or Speaking to do, but her mere presence was fascinating.

    She was married to Mark Hellinger, who was the theatrical columnist for the New York Daily News and later went on to be a writer and producer of Crime Films.

    After her career as a Ziegfeld Girl, Gladys started a beauty advice column for the New York Daily News and dabbled in radio.

     

     

     

    (Rose) Dolores in her peacock costume
Ziegfeld Follies, 1920

    (Rose) Dolores in her peacock costume

    Ziegfeld Follies, 1920

     

    Marilyn Miller - September 1, 1898 - April 7, 1936
One of the best  female tap dancers of the 1920s, Marilyn began her career in vaudeville  as part of the “The Five Columbians”, her family’s vaudeville act, where  she was billed as “Miss Sugarplum”. Marilyn had arrived in New York  City in 1914, - immediately began working on the New York stages.
But it was Florenz Ziegfeld who made her a star after  she performed in his Ziegfeld Follies of 1918, at the famed New Amsterdam Theatre on 42nd Street, with music by Irving  Berlin. Sharing billing with Eddie  Cantor, Will Rogers and W.C. Fields, she brought the house down with her  impersonation of Ziegfeld’s wife, Billie  Burke, in a number entitled Mine Was a Marriage of Convenience.
She followed as a headliner in the Follies of 1919, dancing to  Berlin’s “Mandy”, and reputedly became Ziegfeld’s mistress,  though this was never proven. Miller attained legendary status in the  Ziegfeld production Sally (1920) with music by Jerome  Kern, especially for her performance of Kern’s “Look for the Silver Lining.” The  musical, about a dishwasher who joins the Follies and marries a  millionaire, ran 570 performances at the New Amsterdam. 
She was married to Jack Pickford, brother of Mary Pickford, from 1922 to 1927.
Miller had a long history of sinus infections, and her health was  compromised by an increasing dependency on alcohol. According to reports  shortly before her death, she entered a New York hospital in early  March 1936 in order to recover from a nervous breakdown.  Three weeks after she entered the hospital, however, she developed a  toxic condition and died from complications following surgery on her nasal passages. She was 37. She died in New  York City on the morning of April 7, 1936 and was given a funeral  at Saint Bartholomew’s church on Park  Avenue which drew 2,500 people, including former mayor Jimmy  Walker, Beatrice Lillie, and Billie  Burke.

    Marilyn Miller - September 1, 1898 - April 7, 1936

     

     

    One of the best female tap dancers of the 1920s, Marilyn began her career in vaudeville as part of the “The Five Columbians”, her family’s vaudeville act, where she was billed as “Miss Sugarplum”. Marilyn had arrived in New York City in 1914, - immediately began working on the New York stages.

    But it was Florenz Ziegfeld who made her a star after she performed in his Ziegfeld Follies of 1918, at the famed New Amsterdam Theatre on 42nd Street, with music by Irving Berlin. Sharing billing with Eddie Cantor, Will Rogers and W.C. Fields, she brought the house down with her impersonation of Ziegfeld’s wife, Billie Burke, in a number entitled Mine Was a Marriage of Convenience.

    She followed as a headliner in the Follies of 1919, dancing to Berlin’s “Mandy”, and reputedly became Ziegfeld’s mistress, though this was never proven. Miller attained legendary status in the Ziegfeld production Sally (1920) with music by Jerome Kern, especially for her performance of Kern’s “Look for the Silver Lining.” The musical, about a dishwasher who joins the Follies and marries a millionaire, ran 570 performances at the New Amsterdam.

    She was married to Jack Pickford, brother of Mary Pickford, from 1922 to 1927.

    Miller had a long history of sinus infections, and her health was compromised by an increasing dependency on alcohol. According to reports shortly before her death, she entered a New York hospital in early March 1936 in order to recover from a nervous breakdown.  Three weeks after she entered the hospital, however, she developed a toxic condition and died from complications following surgery on her nasal passages.

     

    She was 37. She died in New York City on the morning of April 7, 1936 and was given a funeral at Saint Bartholomew’s church on Park Avenue which drew 2,500 people, including former mayor Jimmy Walker, Beatrice Lillie, and Billie Burke.

     

     

     

     

    Princess White Deer
Performed in the 1927 Ziegfeld 9 O’Clock Frolic. According to the  theatre program, she also performed in the Ziegfeld Midnight Frolic of  April 1921. Born Esther Louise Georgette Deer of Chief James Deer and Georgette  Osborne Deer (Iroquois Tribe, Mohawk - Akwesasne people of the St.  Lawrence Seaway region) in 1891. She is now called the first Native American to gain fame as a dancer and vocalist.
     
     
     

    Princess White Deer

    Performed in the 1927 Ziegfeld 9 O’Clock Frolic. According to the theatre program, she also performed in the Ziegfeld Midnight Frolic of April 1921.

    Born Esther Louise Georgette Deer of Chief James Deer and Georgette Osborne Deer (Iroquois Tribe, Mohawk - Akwesasne people of the St. Lawrence Seaway region) in 1891. She is now called the first Native American to gain fame as a dancer and vocalist.

     

     

     

    Doris Eaton Travis

    Doris Eaton Travis

     

     

     

    chateauxdanslair:

Billie Burke, photographed for Vanity Fair, 1920

    chateauxdanslair:

    Billie Burke, photographed for Vanity Fair, 1920

     

     

     

    thetranscendentalmodernist:


Ziegfeld Girl
Tata Leonova

     

    Susan Fleming - February 19, 1909 - December 22, 2002
Her big stage break which led to her Hollywood career was as one of the  famed “Ziegfeld Girls” in the Ziegfeld Follies.  After starring in the Ziegfeld Follies productions on Broadway, she started appearing in movies. Fleming combined her dancing and cinematic interests in the 1932 movie Million Dollar Legs, in which she played the  daughter of W. C. Fields’ character. As part of a publicity stunt for  the film, her legs were insured for the eponymous million dollars.
Susan retired from show business when she married Harpo Marx in 1936.  They dated for four years and she proposed to him three times before he finally accepted.  They remained happily married for 28 years, and he died on their 28th wedding anniversary in 1964

    Susan Fleming - February 19, 1909 - December 22, 2002

     

    Her big stage break which led to her Hollywood career was as one of the famed “Ziegfeld Girls” in the Ziegfeld Follies. After starring in the Ziegfeld Follies productions on Broadway, she started appearing in movies. Fleming combined her dancing and cinematic interests in the 1932 movie Million Dollar Legs, in which she played the daughter of W. C. Fields’ character. As part of a publicity stunt for the film, her legs were insured for the eponymous million dollars.

    Susan retired from show business when she married Harpo Marx in 1936. They dated for four years and she proposed to him three times before he finally accepted. They remained happily married for 28 years, and he died on their 28th wedding anniversary in 1964

     

     

     

    turnofthecentury:

 Olive Thomas & Don The Inebriate Dog in  Midnight Frolic,1915

     

    anneyhall:

Ziegfeld Girls

    anneyhall:

    Ziegfeld Girls

     

    luzfosca:

floradoragirl:

Mae Murray

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    floradoragirl:

    Mae Murray

     

     

    2831:

Gladys Glad

Photo:  Alfred Cheney Johnston

    2831:

    Gladys Glad

    Photo: Alfred Cheney Johnston

     

     

    Jean Ackerman

    Jean Ackerman

     

     

    dolores-costello:

Helen and Dolores Costello
Ziegfeld Girls - Photo by Alfred Cheney Johnston

    dolores-costello:

    Helen and Dolores Costello

    Ziegfeld Girls - Photo by Alfred Cheney Johnston

     

     

     

    Reri (Ann Chevalier)
Performed in the South Seas Island number in The Ziegfeld Follies of 1931
Photo:  Alfred Cheney Johnston  (Via Historical Ziegfeld)

    Reri (Ann Chevalier)

    Performed in the South Seas Island number in The Ziegfeld Follies of 1931

    Photo: Alfred Cheney Johnston (Via Historical Ziegfeld)

     

     

    Mae Murray - (1920s)
Photo:  Alfred Cheney Johnston

    Mae Murray - (1920s)

    Photo: Alfred Cheney Johnston

     

    Bee Palmer
Beatrice C. Palmer was born in Chicago September 11, 1894, the daughter of Swedish immigrant parents Charles and Anna Palmer. She was a  musician, songstress, Ziegfeld Follies performer, dancer, and song  writer who had an all-around beauty and naughtiness that made her a very  popular act in the Roarin’ Twenties. She first appeared on the New York stage in Ziegfeld’s Midnight Frolic of 1918 where she sang ballads to her own accompaniment on the piano (Bee was  an accomplished pianist in her own right). It is during this time that  Bee invented one of the 1920’s most popular dances “The Shimmy”.

    Bee Palmer

    Beatrice C. Palmer was born in Chicago September 11, 1894, the daughter of Swedish immigrant parents Charles and Anna Palmer. She was a musician, songstress, Ziegfeld Follies performer, dancer, and song writer who had an all-around beauty and naughtiness that made her a very popular act in the Roarin’ Twenties. She first appeared on the New York stage in Ziegfeld’s Midnight Frolic of 1918 where she sang ballads to her own accompaniment on the piano (Bee was an accomplished pianist in her own right). It is during this time that Bee invented one of the 1920’s most popular dances “The Shimmy”.

     

    Bee Palmer

    Bee Palmer

     

     

    Helen Morgan - (August 2nd, 1900 - October 8th, 1941).
She was the orginal torch singer; the first woman to get really drunk,  sit on top of a piano and sing sad songs about how she loves her man but  he treats her like dirt but she loves him anyway.  During her hey-day,  the 1920s and ’30s, she ruled supreme from atop a Steinway in dozens of  cabarets.  Her sad songs made even the hardest bootlegger cry in his  beer.  Literally placed on a pedestal, she was the true “untouchable” of  the Jazz Age.
She performed in The Ziegfeld Follies of 1931, and Ziegfeld’s “Showboat”.

    Helen Morgan - (August 2nd, 1900 - October 8th, 1941).

    She was the orginal torch singer; the first woman to get really drunk, sit on top of a piano and sing sad songs about how she loves her man but he treats her like dirt but she loves him anyway. During her hey-day, the 1920s and ’30s, she ruled supreme from atop a Steinway in dozens of cabarets. Her sad songs made even the hardest bootlegger cry in his beer. Literally placed on a pedestal, she was the true “untouchable” of the Jazz Age.

    She performed in The Ziegfeld Follies of 1931, and Ziegfeld’s “Showboat”.

     

    The Cutter Sisters
Photo:  Alfred Cheney Johnston

    The Cutter Sisters

    Photo: Alfred Cheney Johnston

     

     

     

    sources

     

    http://ziegfeld-follies.tumblr.com/archive

    http://ziegfeld-follies.tumblr.com/post/119867

    08345/sydneyflapper-ziegfeld-follies-of-1920

     

    D.R.

     

    http://louise-de-lou.eklablog.com/ziegfeld-follies-

    c21501721#!/ziegfeld-follies-a88228327

     

     

     

     

     

     

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    Marlene Dietrich, originally uploaded by

    VéroniqueLegrand

     


    Marlene Dietrich, originally uploaded by goodmorningsadness.

     

     


    Marlene Dietrich, 1932, originally uploaded by glen.h.

     


    Marlene Dietrich, originally uploaded by truity1967.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    "dessin de mode art deco"

    Artiste : Georges DEON 

    exceptionnel dessin époque art deco 1920

     

    sources  :

    http://www.guillaumebrouard.com/peintures-dessin-de-mode-art-deco-74.html

     

    Porter Woodruff, Vogue, magazine cover, March 01 1926

    Homer Conant, Theatre Magazine, cover, 1922

     

     

     


    Sur La Digue, originally uploaded by normavalentine.

     

     

     


    Vargas, originally uploaded by Gatochy.

      

      

      

      

     

     

     

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